We are the daughters and sons of the witches you did not burn.

 


Au nom de celles qui brûlèrent pour avoir osé déranger l’ordre établi, soigner par les plantes, penser par elles-mêmes, ou afficher un goût prononcé pour la liberté. A celles qu’ils dénommèrent sorcières. Dans les cendres froides, leurs cœurs d’affranchies battent encore.

Et plus largement… A tous les esprits libres, les inadaptés, les marginaux, qui refusent l’étroitesse du système, le culte de l’apparence et les limitations mentales. N’oublions pas que notre feu intérieur brûle sans se consumer : faisons-lui en nous toute la place nécessaire. Alors seulement fumeront les ruines de l’ancien monde.

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